Questions
Bonsoir, je suis en terminale et je me donnes énormément pour réussir ma vie mes résultats sont correct par rapport à ma filière et mon conseil de classe s'est très bien passé. Cependant mes parents me foutent en l'air car pour eux je ne fou rien chez moi car ils ne me voient pas travailler ce qui est normal vu que je travail dans ma chambre dans mon coin donc ils ne me voient pas. Je me prend beaucoup de remarque dans la figure telle que : "Tu es nul" "Ta vie est morte" "Tu réussiras jamais dans ta vie" et donc ça me démotive énormément et j'ai faillis me suicider dû à cette pression constante chez moi. Le soir quand je rentre des cours j'en ai la boule au ventre car j'ai peur de ce qu'on va me dire, j'arrive pas à en parler à mes proches et j'ai pas envie d'en parler avec mon lycée car eux ne m'écouteront pas, ils ne pensent qu'à leur pourcentages de réussite au bac. Je suis complètement démotivée.
Bonjour à toi,
Tu fais ce qu’il faut pour obtenir de bons résultats scolaires, et tu y arrives si on comprend bien.
Tes bonnes notes, tu ne les dois qu’à toi-même, et à ton travail, ok ?
Ce qui te désole, te démotive très fort, c’est le non soutien à la maison. Plus qu’un non soutien, ce sont des remarques négatives que tu reçois, de ta mère et ton beau-père, c’est bien ça ? Tu nous en as déjà parlé, tu te souviens ?
Quand ils voient tes notes, ils en disent quoi ? Ils doivent reconnaître que tu travailles, non ?
A ton avis, ils ont conscience du mal que ces mots te font ? L’idéal serait de leur poser la question directement … c’est possible tu penses ? dans un moment calme, détendu le plus possible .. ?
Et lorsqu’il y a réunion entre ton professeur principal et tes parents par exemple, ta mère peut reconnaître tes efforts ? Tu ne penses pas que ça vaudrait la peine d’en parler à un prof ou un éducateur ? cette boule au ventre dont tu parles, si elle ne peut pas s’exprimer en mots, sortir, que va-t-il arriver ? Elle va grossir et se durcir, et c’est toi et ton corps qui en feront les frais, tu ne trouverais pas ça très injuste ?
Tu as 17 ans, le bac approche et puis des études ? Vers quoi as-tu envie de t’orienter dis-nous, quels sont tes rêves, tes envies ?
Tu as repris l’équitation ou pas ?
On reste à ton écoute. C’est toi qui es dans le bon, tu fais ton job à l’école. On espère aussi que tu as des bons copains et copines et que ça se passe bien avec eux au lycée.
A +
L’équipe de Paroles D’ados
Tu fais ce qu’il faut pour obtenir de bons résultats scolaires, et tu y arrives si on comprend bien.
Tes bonnes notes, tu ne les dois qu’à toi-même, et à ton travail, ok ?
Ce qui te désole, te démotive très fort, c’est le non soutien à la maison. Plus qu’un non soutien, ce sont des remarques négatives que tu reçois, de ta mère et ton beau-père, c’est bien ça ? Tu nous en as déjà parlé, tu te souviens ?
Quand ils voient tes notes, ils en disent quoi ? Ils doivent reconnaître que tu travailles, non ?
A ton avis, ils ont conscience du mal que ces mots te font ? L’idéal serait de leur poser la question directement … c’est possible tu penses ? dans un moment calme, détendu le plus possible .. ?
Et lorsqu’il y a réunion entre ton professeur principal et tes parents par exemple, ta mère peut reconnaître tes efforts ? Tu ne penses pas que ça vaudrait la peine d’en parler à un prof ou un éducateur ? cette boule au ventre dont tu parles, si elle ne peut pas s’exprimer en mots, sortir, que va-t-il arriver ? Elle va grossir et se durcir, et c’est toi et ton corps qui en feront les frais, tu ne trouverais pas ça très injuste ?
Tu as 17 ans, le bac approche et puis des études ? Vers quoi as-tu envie de t’orienter dis-nous, quels sont tes rêves, tes envies ?
Tu as repris l’équitation ou pas ?
On reste à ton écoute. C’est toi qui es dans le bon, tu fais ton job à l’école. On espère aussi que tu as des bons copains et copines et que ça se passe bien avec eux au lycée.
A +
L’équipe de Paroles D’ados
Un dossier sur le sujet
Le décrochage scolaire correspond au fait de se désintéresser petit à petit de l’école et/ou de l’enseignement et peut, s’il perdure, terminer un abandon de toute scolarité.
C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur depuis quelques années. Il semble que la proportion des garçons « décrocheurs » soit plus élevée que celle des filles (15,3 % contre 11,6 % au niveau européen en 2011).
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