Bonjour,

Je tenais à vous remercier pour votre précédente réponse qui m'a grandement éclairé au sujet de la dualité intro/extravertie.


Je m'adresse à vous, qui m'aidez à mieux comprendre le monde, aujourd'hui avec une idée que je me fais qui est en effet fort antagoniste à celle qui semble prendre le dessus sur le plan éthique.

Tout d'abord je veux parler de l'individu dit haut potentiel; de l'être doué d'une intelligence fort supérieure à la moyenne. En effet nous pouvons dégager une médiane égale à 100 dans la distribution gaussienne que présente cette étude.

Suite aux tests d'aptitudes cognitives réalisés dernièrement je me retrouve en tant que possesseur d'un QI de 130 soit dans la maigre classe regroupant 2% de la population mondiale.

Maintenant en approfondissant un petit peu les statistiques nous pouvons dégager un corollaire tel que plus la profession est exigeante plus les diplômés sont à mêmes d'avoir un QI élevé et vice-versa. La moyenne des universitaires est déjà à 110, celle des bacheliers à 115 et post doctorants à 125 sans oublier que des facultés plus faciles tirent cette moyenne vers le bas.

De suite un lien devrait vous venir à l'esprit: plus on est intelligent plus on peut atteindre des professions respectées dans la société.

Tous les gens voudraient être médecin/ingénieur civil/PDG d'une grande entreprise/... Donc nous pouvons parler d'une préférence ou d'une supériorité de préférence de laquelle jouissent ces emplois-ci contrairement à des emplois moins valorisants qu'il est imprudent de citer.

Alors ma question est la suivante: peut-on dire que les individus intelligents sont meilleurs que ceux qui ne le sont pas?

Personnellement, je le pense, surtout que l'individu lambda a tendance à envier le surdoué sur de nombreux plans. Mais les chercheurs réfutent cette hypothèse pour je ne sais quelle raison. Ils soulignent souvent le fait que les HP ne sont aucunement meilleurs que les non-HP sur le plan global. Et vous, quel est votre avis?