Voilà, bonjour paroles d’ados vous m’avez demandé comment j’ai réagis à ma mère qui est guérie de l’alcoolisme, en vrai je n’arrivais pas trop à m’imaginer car les alcooliques trouvé toujours un moyen de mentir et de manipulation, ils nous font culpabiliser nous les ados/enfants alors qu’on a aucun rapport dans leur maladie. Au début j’étais méfiante et un peu distante. J'étais sur ma garde en faite. Après je la voyais de plus en plus souvent et je me suis rendu compte que mon père devenait de plus en plus alcoolique. Depuis toute petite mon père est très bon manipulateur et menteur... c’est pour ça que je le connais si bien. Je connais ses trucs. Quand il se rendait compte que je commençais tout doucement à partir il me faisait culpabiliser comme quoi je le laisser encore seul ou que personne n’est là pour lui. Mais le pire c’est que ça marcher. A un moment il a presque failli me tuer plusieurs fois jusqu’au jour où il a pointé une arme chargé sur moi. Ma mère est venu quelque jour après pour que j’habite chez elle. Mon père était furieux. Pourtant j’étais contente. J’ai pu me concentrer sur mes études malgré les problèmes et avoir d’excellente. Je suis déjà très mature depuis mon très jeune âge et autonome. Dès mes 8 ans j’ai dû faire tout dans la maison, occuper de ma sœur comme si j’étais ma mère (maintenant elle me dit que j’étais sa deuxième maman quand ma mère n’étais pas là mais c’est pas normal). Je devais faire le ménage, aussi m’occuper de ma mère et faire à manger. Après tout ça mon père nous a prit en Flandre. C’était pas mes plus belles années mais après trois ans nous sommes revenu en Wallonie. Entre deux ma mère allait déjà mieux et ma sœur habitait avec elle. Puis c’est là où tout à foirer avec mon père et qu’il m’a menacé... je me rend compte qu’au moins je sais à quel point la vie peut être injuste mais au moins la vie a fait de moi ce que je suis devenu maintenant à mes 16 ans. Je profite de la vie comme si c’était le dernier jour. Car la vie est courte et on a déjà trop prit ma jeunesse. Là je garde distance quand même de mon père car il essayes de me remanipuler. Mais je me laisserais pas avoir denouveau. Des fois je pleure encore souvent et j’ai l’impression d’être faible mais je me rend compte que mes larmes et ma tristesse sont ma force aujourd’hui et que le passé et le passé. Il ne changera pas. Je suis certaine d’une chose c’est que je suis prête plus que personne pour être forte et indépendante.