Questions
Juste des nouvelles, si... si... les anciens ne sont pas oubliés.
Mes vieux démons ne me quittent pas, je traverse toujours de GROSSES périodes de vides qui nuisent à mon projet pro : en master de psychologie, on ne me voit pas en cours. Pour les bourses ça craint.
Décés de ma dernière grand-mère recemment.
Il ne me reste plus qu'un parent. C'est ainsi.
Rupture après deux ans et demi de relation avec Prince Charmant, il l'a cherché, il a fait des TS après ça. Heureusement, il s'est raté.
Moi, j'ai beaucoup bu et baiser, à tort et à travers, avec des gens plus ou moins fréquentables. Me suis abîmés.
J'ai ENCORE déménager, sur Lyon. Besoin de repères stables que je ne trouve pas.
J'ai rencontré quelqu'un, il est bien. Truc marrant il est plus jeune que moi et est coach en séduction. Il est très bien, à l'écoute, gentil, présent, fou amoureux...
Et moi? Moi, je suis à l'ouest, tout simplement. Je suis là sans être là. Je veux mourir, souvent, mais j'ai l'habitude, ça fait 13 ans que ça dure.
Je pense consulter, mais je me méfie des psychiatre qui n'ont pas de véritable formation thérapeutique et sont plutôt psychanalyste dans leurs approche... et je n'ai pas les moyens de payer un psychologue.
J'aime mon mec, je crois, je n'en suis pas sure. Disons que je SAIS que c'est le mec qui me convient parfaitement et parfois il me plait vraiment. Je crois que j'ai envie de l'aimer mais qu'il me faut du temps.
Bref, 22 ans, j'suis plus une ado, je vote, je travaille, je suis stagiaire psychologue...
Mais en moi, ça part en latte. Les conflits maternels pas réglés. J'veux mourir, mais j'ai l'habitude.
J'aimerai une pause, loin de cours, de la vie, du train train quotidien que je m'évertue à louper, j'aimerai dormir longtemps, me réveiller dans 100 ans. En fait, je suis à bout de force.
Je n'ai même pas l'énergie pour me relever et aimer encore...
J'aurais vraiment aimé venir avec de bonnes nouvelles, mais je ne vois pas la fin du tunnel, et j'en ai marre de marcher, dites moi, je fais quoi maintenant?
Mes vieux démons ne me quittent pas, je traverse toujours de GROSSES périodes de vides qui nuisent à mon projet pro : en master de psychologie, on ne me voit pas en cours. Pour les bourses ça craint.
Décés de ma dernière grand-mère recemment.
Il ne me reste plus qu'un parent. C'est ainsi.
Rupture après deux ans et demi de relation avec Prince Charmant, il l'a cherché, il a fait des TS après ça. Heureusement, il s'est raté.
Moi, j'ai beaucoup bu et baiser, à tort et à travers, avec des gens plus ou moins fréquentables. Me suis abîmés.
J'ai ENCORE déménager, sur Lyon. Besoin de repères stables que je ne trouve pas.
J'ai rencontré quelqu'un, il est bien. Truc marrant il est plus jeune que moi et est coach en séduction. Il est très bien, à l'écoute, gentil, présent, fou amoureux...
Et moi? Moi, je suis à l'ouest, tout simplement. Je suis là sans être là. Je veux mourir, souvent, mais j'ai l'habitude, ça fait 13 ans que ça dure.
Je pense consulter, mais je me méfie des psychiatre qui n'ont pas de véritable formation thérapeutique et sont plutôt psychanalyste dans leurs approche... et je n'ai pas les moyens de payer un psychologue.
J'aime mon mec, je crois, je n'en suis pas sure. Disons que je SAIS que c'est le mec qui me convient parfaitement et parfois il me plait vraiment. Je crois que j'ai envie de l'aimer mais qu'il me faut du temps.
Bref, 22 ans, j'suis plus une ado, je vote, je travaille, je suis stagiaire psychologue...
Mais en moi, ça part en latte. Les conflits maternels pas réglés. J'veux mourir, mais j'ai l'habitude.
J'aimerai une pause, loin de cours, de la vie, du train train quotidien que je m'évertue à louper, j'aimerai dormir longtemps, me réveiller dans 100 ans. En fait, je suis à bout de force.
Je n'ai même pas l'énergie pour me relever et aimer encore...
J'aurais vraiment aimé venir avec de bonnes nouvelles, mais je ne vois pas la fin du tunnel, et j'en ai marre de marcher, dites moi, je fais quoi maintenant?
Bonjour bonjour, c’est vrai, les anciens ne sont pas oubliés ! Nous nous souvenons très bien de toi et cela nous fait plaisir de recevoir de tes nouvelles. Tu vis pour le moment de « GROSSES » périodes de vide dis-tu… Tu es en plein deuil toujours, ta dernière grand-mère n’est plus là, et tu t’es séparée de ton amoureux il n’y a pas très longtemps d’après ce que nous comprenons… Cette rupture a dû être très difficile pour vous deux...Pour lui tu nous parles de TS. Et toi, comment as-tu vécu cela ? Tu dis qu’il l’a cherché, on comprend entre les mots qu’il n’a pas respecté ce qui était convenu entre vous ? Tu as sans doute été chamboulée par ce que tu as vécu là… Et ce deuil-là réveille tous les autres ! Tu en as déjà vécu quelques uns, à croire que ton histoire sur terre a quelque chose à voir avec les ruptures (deuils, séparation, déménagement, perte de repères en buvant/sortant avec des gens moins fréquentables)! C’est comme si , quand tu vis quelque chose qui te fait vaciller, tu exagères encore la perte d’équilibre jusqu’à te retrouver sans repères. Et puis, comme le fait un balancier, tu te restabilises dans un nouvel équilibre. Là, tu sors avec quelqu’un qui te semble te convenir parfaitement, mais tu ne sens pas encore réellement d’amour pour lui. C’est peut-être dû à ta blessure précédente en effet, tu as raison de laisser faire le temps… Ou c’est peut-être aussi une autre sorte de relation, qui se construit sur du long terme ?... Il faudra voir comment tu te sens dans cette relation au fur et à mesure que tu y avanceras… De toutes façons, repose-toi dans ce nid-là pour le moment s’il te fait du bien, le temps de reprendre ton souffle, de lécher tes blessures, de dormir cent ans sans devoir plus rien vivre de difficile…
Tu nous parles de conflits avec ta maman, tu pourrais vraiment travailler cela. A 22 ans, tu arrives à l’étape où ce genre de relations se calme et se régularise. Si au moins, tu ne dois plus dépenser d’énergie à gérer cette relation-là, tu te sentiras plus légère… Que pourrais-tu faire pour y arriver ?
Nous pensons comme toi que ce serait bien intéressant de consulter quelqu’un. Comme tu es en psycho, tu passeras de toutes façons par cette étape un jour ou l’autre si tu veux travailler dans le domaine thérapeutique. Renseigne-toi pour les psychiatres, certains ont suivi de longues formations thérapeutiques, psychanalyse, hypnose ou autres méthodes. Ceux qui sont psychanalystes ne travaillent plus tous sur le même modèle de « thérapie longue », mais utilisent les concepts psychanalytiques en les adaptant à une manière plus actuelle de travailler. Cela vaut vraiment la peine de chercher un peu.
Quant aux psychologues, sont-ils tellement plus chers ? N’y en a-t-il pas qui travaillent dans des centres où l’on adapte le prix aux possibilités financières des personnes ?
Face à ce sentiment de vide, réfléchis à ce que serait l’ANTIDOTE pour toi ?
Pour certains c’est l’humour, pour d’autres c’est l’art, le social, ou le sport… Trouve ce qui te procure du plaisir (sans t’abîmer) et veille à ce qu’il y ait tous les jours un moment de plaisir intense, ou de rire. Pourrais-tu faire cela ?
Quand tu auras trouvé des renseignements, tiens-nous au courant si tu le veux bien, ok ?
Merci pour ta confiance et courage en attendant de rebondir ! Affectueusement, l’équipe de Paroles d’ados.
Tu nous parles de conflits avec ta maman, tu pourrais vraiment travailler cela. A 22 ans, tu arrives à l’étape où ce genre de relations se calme et se régularise. Si au moins, tu ne dois plus dépenser d’énergie à gérer cette relation-là, tu te sentiras plus légère… Que pourrais-tu faire pour y arriver ?
Nous pensons comme toi que ce serait bien intéressant de consulter quelqu’un. Comme tu es en psycho, tu passeras de toutes façons par cette étape un jour ou l’autre si tu veux travailler dans le domaine thérapeutique. Renseigne-toi pour les psychiatres, certains ont suivi de longues formations thérapeutiques, psychanalyse, hypnose ou autres méthodes. Ceux qui sont psychanalystes ne travaillent plus tous sur le même modèle de « thérapie longue », mais utilisent les concepts psychanalytiques en les adaptant à une manière plus actuelle de travailler. Cela vaut vraiment la peine de chercher un peu.
Quant aux psychologues, sont-ils tellement plus chers ? N’y en a-t-il pas qui travaillent dans des centres où l’on adapte le prix aux possibilités financières des personnes ?
Face à ce sentiment de vide, réfléchis à ce que serait l’ANTIDOTE pour toi ?
Pour certains c’est l’humour, pour d’autres c’est l’art, le social, ou le sport… Trouve ce qui te procure du plaisir (sans t’abîmer) et veille à ce qu’il y ait tous les jours un moment de plaisir intense, ou de rire. Pourrais-tu faire cela ?
Quand tu auras trouvé des renseignements, tiens-nous au courant si tu le veux bien, ok ?
Merci pour ta confiance et courage en attendant de rebondir ! Affectueusement, l’équipe de Paroles d’ados.
