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Questions


Bonjour à vous,
Je voudrai vous poser une question en rapport avec le doctorat de psychologie.
Peut-on grâce à ce doctorat travailler par la suite dans un laboratoire de recherche tel que le CNRS? Ou d'autre centre de recherche ?
Merci pour le temps que vous allez accorder à ma question
Cordialement.
Bonjour et Bienvenue sur Paroles d’ados,
Excuse-nous pour le léger retard.
Tu voudrais savoir si un doctorat en psychologie ouvre la porte à des centres de recherche tels que le CNRS ?
Au vu de la présentation du CNRS, il semble que les domaines de recherche soient liés à la science. Il n’est donc pas garanti qu’un doctorat en psychologie puisse te permettre d’accéder à ce centre de recherche. Toutefois, nous pensons qu’il est préférable que tu prennes contact avec ce centre de recherche pour demander leur avis ainsi tu seras fixé sur leur politique d’engagement. Par ailleurs, effectuer un doctorat en psychologie va te permettre de valoriser des compétences telles qu’un esprit critique et synthétique, une capacité à être rigoureuse, patiente, autonome, créative ainsi qu’une habilité à la communication. Ces compétences sont également indispensables pour être un bon chercheur. Ainsi, nous pensons qu’avec de la motivation, un sujet de recherche accrocheur et une personnalité dynamique et enthousiaste, tu pourras peut-être être acceptée dans un centre de recherche « plus éloigné de la psychologie ».
Un centre de recherche en psychologie t’intéressait-il ? As-tu déjà visité des sites pour connaître le type de recherches effectuées ? (ex http://lpp.psycho.univ-paris5.fr/ ; http://lpnc.univ-grenoble-alpes.fr/Les-orientations-scientifiques )
Prends le temps pour faire ton choix,
N’hésite pas à contacter directement les centres de recherche qui t’intéressent pour connaître leur politique d’admission.
En espérant t’avoir aidée,
L’équipe de Paroles D’ados

Un dossier sur le sujet


Décrochage scolaire

Le décrochage scolaire correspond au fait de se désintéresser petit à petit de l’école et/ou de l’enseignement et peut, s’il perdure, terminer un abandon de toute scolarité.

C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur depuis quelques années. Il semble que la proportion des garçons « décrocheurs » soit plus élevée que celle des filles (15,3 % contre 11,6 % au niveau européen en 2011).

 

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